On continue ? vous êtes toujours là ? Nous étions don à la rue de la Vendée, tournons à droite par le rond point et descendons vers la mairie, la poste et le Syndicat d'initiative.
La rue de la Caserne où vivaient des soldats à cheval et à pieds
Vigilant la frontière après le traité des Pyrénées.
Par le traité des Pyrénées le 7 novembre 1659, nous devenions Français. Tout ne s'est pas fait dans la douceur, c'est sûr et notre peuple s'est un peu révolté. Il y avait donc des soldats casernés dans cette rue et qui gardaient la frontière d'où le nom "Rue de la Caserne".
Nous sommes maintenant à la rue du Centre, celle des commerçants
Vous y verrez une placette où vendent les ambulants.
Nous sommes donc à la Place Combe, ancienne place Saint Pierre, vous vous souvenez de l'histoire ?
mais oui, le maçon qui avait emmuré Saint Pierre et le royaliste avec sa casserole......Bien, c'est ici que se tient le marché deux fois par semaine le mardi et vendredi matin. On continue ?...
Passons le pont d'une rivière ombragée
Pour trouver la Coscollède, sans coscoll mais empierrée.
Contrairement à ce que l'on peut penser, il n'y avait pas de coscoll (plante de haute montagne qui se mange en salade) mais le coscoll est aussi le nom catalan d'un petit chêne qui poussait dans ce quartier.
Partant du pont aussi, c'est la route d'Argelès
ou est né un peuple qui parle en Français.
Pourquoi ce peuple qui parle français ? tout simplement parce que c'est ici que sont nés les premiers lotissement comme l'oasis qui fut je crois le premier. Bien sur ils parlaient tous français dans le coin.
Commentaires
ON A VRAIMEN DE LA CHANCE
marine