Puisque j'ai commencé à vous parler de bourreaux, je vais continuer sur la même lancée, ceci est une histoire vraie que Jérome Margail avait recueillie et notée dans ses cahiers. Âmes sensibles, s'abstenir....
La semaine dernière, nous avons invité quelques amis pour une grillade. Nous étions donc une dizaine, assis autour d'une bonne table, salades, tomates, légumes et viande grillée et bon vin, nous discutions tranquillement. Un des enfants s'étant servi du pain, le reposa sur la table à l'envers, machinalement je le remis à l'endroit et demandais à mes amis pourquoi on ne laissait pas le pain ainsi tourné. "Je crois que ça porte malheur dit maryvonne" , c'est peut être ça mais je vais vous dire la vrai raison.
Dans mon enfance j'ai souvent entendu parler du roi Wamba par mon père, il me racontait comment il était venu en Roussillon et en particulier à Ultréra.
Trop fatiguée pour écrire hier soir et puis un peu déçue, à peine une quarantaine de pèlerins venus à Notre Dame du Château pour la fête. J'ai retrouvé des amis avec qui nous avons parlé des fêtes d'autrefois car dans notre département le 16 août était férié. "C'est fini" a dit un homme politique," désormais, vous travaillerez comme tout le monde ". Non mais de quoi il s'est mêlé celui là ?
Aujourd'hui 15 aout, le temps est maussade, frais même,et c'est ma fête....C'est la fête de toutes les Marie et il y en a beaucoup, Marie-Jeanne(ma tante) Marie France (ma cousine)Marie, Mimi, Marie Madeleine (moi). Et comme il n'y avait pas assez de M, mon troisième prénom est Marguerite ce qui fait que je m'appelle : Marie Madeleine Marguerite MARGAIL et depuis mon mariage SANCHEZ (heureusement que ce n'est pas Martinez).
Cela fait quelques dizaines d'années, une "dame" m'a dit ces quelques mots que je n'ai jamais oublié.
Aujourd'hui je vais vous présenter Elsa, ma petite fille, elle a 12 ans et suit assidument les jeux olympique à
Aujourd'hui, je ne ferais pas trop de commentaires, si vous le voulez bien, nous allons parler de "Jeux Olympiques" mais pas de ceux de 2008, ceux de 1964.
Nous sommes en juillet 1949, la journée a été chaude, les gens sont devant leur porte, assis soit sur un mur soit sur une chaise, ils prennent le frais. On discute, on raconte des histoires, on parle des derniers ragots.
Elles ont chanté le jour de mon bapteme, le jour de mon mariage, elles pleureront peut être le jour de mon départ pour un monde que l'on dit meilleur. Elles ont chanté et pleureront pour vous aussi, amis sorédiens, vous, mes amis de toujours, elles, ce sont nos deux cloches Elisabeth et Marie.